Qui se prépare à attaquer les bases US en territoire US?
Alors même que les B-52 américains continuent à tenter tant bien que mal de faire remonter le moral à leurs acolytes sionistes, transis de peur d'avoir à subir instamment sous peu une raclée balistique de la Résistance, le Pentagone vient d'être la cible d'une méga cyberattaque qui a duré des heures et qui a fait des bases de campement de soldats US des cibles parfaitement exposées. Cette nouvelle démonstration de force des "hackers" que les USA tentent de mettre sur le dos de la Russie intervient après deux autres attaques cybernétiques ces trois derniers jours, le Trésor et le département d’état. C'est donc une offensive générale visant les trois têtes de l'exécutif US à l'origine à la fois des guerres économiques mais aussi diplomatiques et militaires US.
Le porte-parole du Kremlin, Peskov a rejeté d'emblée l'accusation, invitant les Américains à "être sages", et de ne pas voir " la main russe partout", bien que la Russie en plein préparatifs des premières attaques atomiques des US depuis l'Europe contre son territoire a toutes les raisons du monde d'être à l'origine de cette méga cyber offensive. Et pourtant le déni russe pousse certains observateurs à se pencher du côté d'un autre pôle anti américain, et pas des moindres, celui qui se trouve à l'heure qu'il est, en guerre ouverte contre l'Amérique finissant.
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La cyberattaque du 14 décembre a poussé le conseille pour la sécurité nationale US O'Brien à regagner en catastrophe le territoire US alors qu'il se trouvait à bord d'un avion le conduisant en Asie de l'ouest! Mais qu'ont-il fait les "pirates informatiques"? Avoir piraté des logiciels, utilisés par presque toutes les sociétés Fortune 500 et plusieurs agences fédérales, afin d'accéder à des systèmes informatiques sécurisés. En d'autres termes ils ont accédés aux informations classifiées. Dans la foulée et pour plusieurs heures, ils ont réussi à déconnecter des bases militaires sur l'ensemble du territoire américain du Pentagone, exposant de la sorte les attroupements militaires US aux attaques potentiels.
Le commentaire US cité par The Washington Times n'a pas tardé : « Les bases de l'armée américaine sont confrontées à un risque réel d'attaques délibérées et directes de la part d'ennemis et doivent mettre en œuvre de nouvelles stratégies pour renforcer leurs défenses », un constat qui renvoie d'ailleurs à un récent rapport américain intitulé « stratégie d'installations ». C'est un texte de 16 pages, où le Pentagone prévoit que les adversaires utiliseront des réseaux sophistiqués de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) pour cibler à la fois les installations militaires et les cibles souples associées aux forces amies, y compris les organisations du secteur privé, l'infrastructure civile, l'armée institutionnelle et les cibles conjointes, les réseaux de communication et les services ainsi que les familles des membres du service.
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The Washington Time ajoute : "Les hackers ont réussi à s'introduire dans le système américain "SIPRNET", utilisé pour fournir des communications pour le Pentagone. Le système a été arrêté pendant plusieurs heures, laissant effectivement l'armée américaine sans coordination avec le département américain de la Défense". Rappelons que «SIPRNET» est un système de réseaux informatiques interconnectés utilisé par le Département américain de la Défense et le Département d’État pour transmettre des informations de diffusion limitée, y compris celles classifiées » note les experts qui affirment que les pirates "ont pu accéder au système SIPRNET beaucoup plus tôt, car il a été piraté par la découverte de vulnérabilités internes, ce qui est également démontré par le fait des mises à jour logicielles, ce qui n'exclut pas le fait que les pirates auraient bien pu s'emparer d'une grande quantité de secrets information".
Qui intéresserait à des bases militaires US parfaitement déconnectées de leur centre de commandement ? "
Trois des États les plus lourdement sanctionnés - l'Iran, la Corée du Nord et le Venezuela - qui renforcent de jour en jour leurs partenariats stratégiques et qui en sont désormais à avoir crée une coalition émergente laquelle cherche une collaboration renforcée dans les domaines militaire, du renseignement, de l'économie et de la cybernétique pour rendre nul et non avenu les sanctions américaines mais aussi pour briser la puissance militaire américaine, souligne The Diplomate avant d'ajouter :
" Le premier pétrolier des dix pétroliers que l'Iran vient encore d'envoyer au Venezuela a accosté au large du pays et selon des sources il va charge du pétrole vénézuélien pour le vendre. Caracas a annoncé par ailleurs avoir ouvert une usine à drone iranien Mohajer 6 avec quoi il compte "défendre ses cotes". Rien ne dit que la prochaine surprise que l'Iran va nous faire, n'aura pas de rapport avec les missiles. Eliott Abram a beau affirmé ne ps permettre à l'Iran de doter le Venezuela de missiles , à l'heure qu'il est rien ne l'empêcherait de rendre la pareille aux Américains qui continuent à agir dans le golfe Persique et à menacer l'Iran. Une attaque aux drones simultanées comme savent si bien le faire les Iraniens, pourrait viser pourquoi pas des bases des militaires américains aux Etats-Unis et de nouvelles cyberattaques genre celles que vient de vivre l'Amérique arrangerait bien les choses. C'est un avertissement dans un contexte où les Etats Unis tentent par tous les moyens possibles et imaginables de promouvoir le concept d''attaque intégrée" dans le cadre de leurs efforts de guerre anti-iraniens. La cyber offensive qui a mis K.O. le 14 décembre le Pentagone prouve qu'il y a plus fort que les Américains en la matière".